Dr Mae-Wan Ho
Merci à Institut of Science In Society
Les biophotons en provenance de toutes les
cellules d'un même organisme ne sont pas cacophoniques, ils sont orchestrés.
Cela signifie que les molécules d'ADN émettent de façon concertée. Le champ de
biophotons est à la fois le résultat de l'ensemble des photons et aussi un
champ enveloppant collectif qui assure la cohérence et l'unité du système
biologique.
On peut comparer cette communication au
système de synchronisation d'une population de fourmis qui travaillent toutes à
l'organisation commune, grâce l'information qu'elles reçoivent chacune de la
part du champ collectif créé par elles.
Le champ de biophotons est porteur
d'informations complexes qui circulent entre cellules et organes. Il dirige et
coordonne toutes les activités métaboliques et de transformation. En introduisant la notion de champs énergétiques et
ondulatoires, la biologie sort des descriptions basées uniquement sur des
réactions chimiques et rejoint la nouvelle physique qui utilise le concept de
champ d'informations.
L'émission continue de biophotons est
une caractéristique fondamentale du vivant. Le champ de biophotons est produit en permanence et se modifie
sans cesse. Dans son livre The
rainbow and the Worm, la Dr
Mae-Wan Ho (Chine et
Angleterre) explique que le champ de photons est semblable à un fluide, comme
l'eau dans un récipient, mais fait de consistance lumineuse. De la sorte, il
peut être animé de vagues. Il envoie des ondes de biophotons dans son
environnement.
Le champ énergétique informationnel des organismes
biologiques ou biochamp
L'existence de champs de rayonnements
englobant et imprégnant les organismes biologiques a été proposée par de
nombreux biologistes et physiciens (voir article à venir Biochamp). L'idée de coordination cellulaire
par un champ a été étudiée par Herbert
Fröhlich à Liverpool (à
partir de 1968) et Renato
Nobili à Padoue (à partir de
1985). Northrup décrit un champ électrodynamique qui
est déterminé par ses composants atomiques et réagit sur les propriétés de ces
éléments. Le concept de champ morphogénétique (qui engendre les formes) a été développé d'abord par Gurwitsch en 1922 et Weiss en 1926, puis parRupert Sheldrake dans les années 1980. En France, le
mathématicien Emile Pinel (1906 - 1985) a prédit
mathématiquement l'existence d'un champ global à 9 composantes qui régit la vie
des cellules.
D'autres ont montré la réalité physique du
champ par les traces détectables qu'il manifeste lorsqu'il est sollicité (voir
également en annexe: Le champ fantôme de l'ADN):
Effet fantôme sur une feuille coupée.
Photographie de type Kirlian
Merci à Noëlle
Dans les années 1940, Harold Burr a mesuré le champ électrique généré
par et autour des corps vivants de salamandres, grenouilles, moisissures et humains.
Il a montré que le champ électrique des œufs de salamandres, entre autres,
prend dès l'origine la forme du champ électrique d'une salamandre adulte. C'est
comme si l'œuf avait déjà l'information de sa morphologie adulte.
La technique moderne de mise en évidence de
champs particulaires est issue des travaux de Seymon
et Valentina Kirlian. Elle consiste à soumettre l'organisme étudié à une
tension électrique et à capter sur film photographique les effluves électriques
et lumineuses qui sont produites autour de l'organisme. Cette technique a été
modernisée, informatisée par le DrKonstantin Korotkov.
Le collaborateur des Kirlian, Víctor Adamenko, a découvert en
1966 que le champ pouvait rester présent quand la feuille a été découpée, même
dans les parties manquantes. Ce n'est pas la cas pour les parties évidées à
l'intérieur. L'expérience a été reproduite dans plusieurs laboratoires, dont
celui du Dr P. Gariaev en Russie.
Le code génétique holographique
Dr. Peter Gariaev
Merci à Wave
Genetics
Le Dr. Piotr (Peter) Gariaev et son équipe, de l'Académie russe des
Sciences naturelles et de l'Académie des Sciences médicales, ont étudié la
nature et le fonctionnement du champ vibratoire créé dans l'organisme par
l'ADN, à la fois par la théorie et par l'expérience. Leur apport essentiel est
de montrer que ce champ a les caractéristiques d'un hologramme, comme nous allons l'expliquer, et que cet
hologramme porte les informations génétiques d'organisation et de coordination
du fonctionnement des cellules. En somme le génome
comporte une partie moléculaire, celle des gènes que nous connaissons, et
une partie ondulatoire, le génome ondulatoire ou supergène.
La notion d'hologramme est apparue en physique lorsqu'on a
découvert des figures lumineuses transmises par un objet éclairé, et que ces
figures ont été enregistrées sur film photographique. Ces figures ne se
présentent pas comme une image directe de l'objet tel qu'on le voit, mais sous
forme de graphiques - des hologrammes - composés des interférences que fait la
lumière qui l'éclaire (voir enannexe). L'hologramme a l'avantage étonnant de
conserver l'image de l'objet en 3 dimensions et de pouvoir la restituer. De
plus,chaque partie du graphique contient les
informations de la totalité de l'objet. C'est
pourquoi il a été nommé hologramme,
ce qui signifie diagramme de
la totalité.
L'idée que des hologrammes sont présents dans
les organismes vivants et portent des informations a déjà été avancée par le
neurobiologiste Karl Pribram,
suivi par d'autres équipes. Il a démontré que les souvenirs sont enregistrés non pas dans la matière du
cerveau, mais dans son champ holographique (voir en annexe).
En accord avec les propositions de l'équipe de
Gariaev, W.
Schempp et P.
Marcer ont montré
que l'ADN a une fonction de stockage des informations et que sa
capacité est considérable (A mathematically specified template for DNA and the Genetic
Code in terms of the physically realisable processes of Quantum Holography,
1996, Proc. Symposium Living Computers, University of Greenwich). En outre, c'est à partir de ces concepts que Schempp a
grandement perfectionné la technique d'imagerie par résonance magnétique (IRM)
qui est adoptée internationalement, ce qui montre que l'hologramme n'est pas
seulement une hypothèse théorique, mais une réalité physique.
Les études de Schempp montrent que les
hologrammes sont inscrits dans le plan des paires de bases de la double hélice. Voilà enfin une réponse à la question de savoir pourquoi la
molécule d'ADN comporte 2 brins qui portent la même information génétique.
C'était incompréhensible selon le code génétique moléculaire classique.
Gariaev conçoit le génome
des organismes supérieurs sous forme d'une grille holographique. Les hologrammes de l'ADN contiennent les codes fondamentaux du
développement et de la forme complète de l'organisme, même quand l'organisme
est à l'état d'embryon. On peut dire qu'ils sont le Soi de l'être vivant.
Langage
fractal
Le champ vibratoire holographique s'appuie sur
la structure entière de l'ADN et surtout sur les 98,7% non-protéinocodant, qui
détiennent donc un rôle fondamental (voir Architecture de l'ADN).
On a vu que ces parties ont une structure fractale. Cette caractéristique est
transmise dans les hologrammes porteurs des informations génétiques issues de
ces parties. Cela signifie que les informations fonctionnent sur plusieurs
échelles.
Gariaev insiste sur l'existence de synonymes
dans les séquences de l'ADN. Par exemple, dans un codon dont on a lu les 2
premières lettres A et G, comment distinguer AG et GA, et comprendre le sens de
la troisième lettre? C'est, dit-il, le contexte qui lève l'ambiguïté, comme
dans le langage humain. Ce contexte est donné par le champ holographique.
L'ADN est un bio-ordinateur
En tant qu'antenne émettrice, l'ADN d'un chromosome d'une cellule peut envoyer des indications
aux autres cellules. Ces indications sont émises lorsque
l'ADN est interrogé par les biophotons qui parcourent l'organisme. Ce mécanisme
a été vérifié expérimentalement en envoyant un faisceau laser sur de l'ADN
(voir ci-dessous).
Certains hologrammes interrogés comportent les
informations concernant la nature essentielle de l'être vivant. D'autres
contiennent des informations sur l'état actuel de la cellule. Cet état varie sans cesse, et les
hologrammes ressemblent à des films plus
qu'à des photos fixes. Ils sont transmis aux cellules voisines afin que chaque cellule reçoive des indications sur l'état des
autres.
Des scientifiques français pionniers et méconnus en matière de
champ bio-vibratoire
En France, le mathématicien Emile Pinel (1906 - 1985) a appliqué ses analyses mathématiques
à l'étude des mécanismes biologiques. Il en a déduit l'existence d'un champ
global à 9 composantes qui régit la vie des cellules. Son élève et
collaboratrice Jacqueline Bousquet a poursuivi ses travaux.
Le biologiste Étienne Guillé (L'alchimie de la Vie, Biologie et Tradition,
éditions du Rocher, 1983) avance que la biologie est fondée sur un couple
matière/vibration. La matière est le support, et la vibration porte
l'information. Dès cette époque, il énonce que les zones
non codantes de l'ADN fonctionnent comme des récepteurs et émetteurs de
vibrations électromagnétiques. Desions métalliques liés à la molécule d'ADN jouent un
rôle de modulateurs des fréquences.
Ces travaux restent méconnus. Être connu
nécessite d'être reconnu soit par sa communauté soit par l'opinion populaire.
Or ces chercheurs ont été rejetés par leur communauté scientifique, car trop
en-dehors des normes. Il se peut également que les résultats qu'ils livraient
dérangeaient certaines instances du pouvoir. Quant à une reconnaissance
populaire, cela nécessite de savoir
communiquer de façon claire et simple, ce qui n'est pas souvent le cas dans
le milieu scientifique. Communiquer nécessite tout un savoir-faire. Les travaux
de Pinel sont d'une grande valeur, mais expliqués dans
un langage mathématique très complexe. Les écrits de Guillé et Bousquet sont
enrobés de jargons ésotériques et/ou techniques incompréhensibles pour les
non-initiés. Toutefois, J. Bousquet a le mérite de faire connaitre les travaux
de Pinel et les siens par sesconférences.
Dépassons les langages et reconnaissons
le courage de ces chercheurs et la valeur de leurs travaux.
Les émissions cellulaires holographiques se
produisent à partir de chacune des milliards de cellules de l'organisme. Par la
fonction d'antenne réceptrice de
l'ADN, l'information holographique est lue constamment par ces cellules. Cela
explique la réponse coordonnée et immédiate des systèmes vivants et le maintien
de l'intégrité de l'organisme. L'ADN reçoit aussi des informations en
provenance de l'environnement local de l'organisme, et même de l'univers
entier.
La transmission de l'information
holographique est immédiate. Ceci n'est pas en
accord avec l'idée d'une transmission du signal par une onde à vitesse définie.
L'information n'est pas localisée, elle est en A et se retrouve immédiatement
en B. C'est ce qu'on appelle latéléportation, qui a été démontrée dans
le cas de particules quantiques (voir article Physique quantique). Cela implique que l'ADN se
comporte comme un objet quantique. Il est admis que le
réseau de microtubules,
une structure architecturale de la cellule, joue un rôle dans ce transfert.
Toutefois, selon Dirk
Bouwmeester (1998) la
manifestation concrète de l'information téléportée requiert aussi la
transmission classique chimique ou électrique.
Ce modèle permet
d'expliquer de façon simple des faits expérimentaux autrement incompréhensibles dans le cadre de la théorie classique. Les codes
génétiques des plantes, ceux des animaux et ceux des humains sont très semblables et produisent des protéines analogues. Et
pourtant, ils se déploient en organismes bien différents. Pourquoi? De même,
dans un organisme tel qu'un humain, comment des cellules possédant le même code
génétique peuvent-elles savoir si elles doivent se développer en cellule du
foie ou en cellule de l'œil? La réponse est dans le champ unifié vibratoire qui
transmet à la cellule l'indication de qui elle est (quel organisme), où elle se
trouve (quelle partie de l'organisme) et ce qu'elle doit faire.
Le champ holographique explique aussi la capacité de
régénération qu'ont certains animauxquand ils ont
été mutilés. C'est le cas du lézard dont la queue a la faculté de repousser si
elle est coupée. Ou encore, celui du ver Planaria dont l'organisme entier peut
se reconstituer à partir de n'importe quelle partie. C'est possible parce que
chaque cellule connait instantanément l'état des autres cellules.
L'existence du champ holographique explique
comment les antigènes et les anticorps peuvent se reconnaitre mutuellement,
comment les transposons savent à quel endroit de l'ADN ils doivent s'insérer.
C'est par ce moyen que les ribosomes, unités de production de protéines dans la
cellule, savent quel acide aminé ils doivent produire lorsqu'ils reçoivent un
code qui a des synonymes et montre une indétermination. C'est d'ailleurs en
voulant résoudre cette dernière question que Gariaev a été amené à élaborer sa
théorie.
Pour Gariaev, l'ADN est bien plus qu'une
antenne réceptrice - émettrice et un lieu de stockage. Il est capable
d'interpréter les informations qu'il reçoit et de réagir en conséquence. L'ADN a la capacité de lire ses propres hologrammes et ceux
qu'il reçoit, de les décoder, de les interpréter, de les modifier et de les
enregistrer. Il a donc toutes
les caractéristiques d'un ordinateur biologique.
Sources:
L'onde
ADN bio-numérique, Peter P. Gariaev, Boris I. Birshtein, Alexander M. Iarochenko, Peter
J. Marcer, George G. Tertishny, Katherine A. Leonova, Uwe Kaempf, 2000 (original en anglais
présenté à Fourth International Conference on Computing Anticipatory Systems,
Liège, Belgique)
Principles of Linguistic-Wave Genetics, Peter Gariaev, Mark J. Friedman,
Ekaterina A. Leonova-Gariaeva, 2011, DNA Decipher Journal 1, 1
The Wave,
Probabilistic and Linguistic Representation of Cancer and HIV, Peter P. Gariaev, George G. Tertishny,
Katherine A. Leonova, 2002, The Journal of Non-Locality and Remote Mental
Interactions, I, 2
Brief introduction
into WaveGenetics, Its scope and opportunities, Peter Gariaev
Le champ électromagnétique qui pilote l'assemblage de
l'ADN
Merci au Pr L. Montagnier
Le professeur Luc
Montagnier s'est
lui aussi rendu compte de l'existence d'un champ électromagnétique associé à
l'ADN, en utilisant une approche expérimentale toute différente. Luc Montagnier a reçu le prix Nobel de médecine en
2008 avec Françoise Barré-Sinoussi, pour leur découverte en 1983 du virus
responsable du SIDA, le VIH. Ses recherches l'ont amené à s'intéresser aux
signaux électromagnétiques émis par certaines cellules et virus pathogènes.
Avec ses collaborateurs, il a mis en évidence que la synthèse de l'ADN pouvait
être pilotée par des signaux électromagnétiques.
Voici comment. De l'ADN de cellules
bactériennes ou de virus est mis en solution dans l'eau dans certaines
conditions de dilution, en présence d'un champ électromagnétique de fréquence
d'environ 7 Hz qui s'est avéré être indispensable pour la réussite de
l'expérience. Cet ADN est ensuite complètement retiré de l'eau. Même enlevé, son
empreinte électromagnétique spécifique, autrement dit sa signature, subsiste
dans cette eau et elle est mesurable. Puis, avec ce tube hermétiquement fermé,
on constate que cette signature, ce champ électromagnétique, peut être
transféré à un autre tube d'eau pure. Si dans le deuxième tube, on a ajouté
précautieusement les constituants de l'ADN, de l'ADN est reconstitué au bout de
quelques heures, reproduisant à 98% l'ADN initial. Les détails expérimentaux de
cette procédure sont exposés en annexe.
Ce résultat est vraiment révolutionnaire.
Jusqu'alors les biologistes considéraient que seule une autre molécule d'ADN
pouvait fournir le plan d'assemblage d'une autre molécule d'ADN, comme un moule
matériel qui guide la duplication. Or ici, on découvre que le plan
d'assemblage de l'ADN a été fourni par sa signature électromagnétique, sans avoir besoin de moule.
C'est tout un monde qui s'ouvre à nous. Des
réactions chimiques ne se font pas au hasard des rencontres, avec des molécules
qui s'approchent en présentant les bons côtés, puis s'emboitent. Les
réactions chimiques sont pilotées par des codes électromagnétiques. La théorie du hasard s'effondre (voir aussiLes origines de la vie)
Dans les expériences de Montagnier, l'eau
intervient comme moyen de transfert des codes d'assemblage, de leur
enregistrement et de leur amplification en microstructures. Dans la partie
suivante, les codes génétiques sont transportés par des faisceaux lumineux.
Transfert par laser de code génétique d'un organisme à
un autre
Le modèle de la transmission d'information par
photons a reçu des confirmations extraordinaires en laboratoire. On a vu plus
haut comment Burlakov a observé que des œufs de poisson se transmettaient des
informations quand ils étaient mis en présence les uns des autres, simplement
par leur rayonnement propre. Or, de multiples expériences ont prouvé qu'il
était possible de transférer des informations génétiques d'un organisme à un
autre également au moyen d'un rayon électromagnétique programmé.
Les recherches de Dzang Kangeng
Avant que les chercheurs russes ne décrivent
leurs théories, un chercheur chinois, Dzang
Kangeng (quelquefois écrit Tsiang Kan Zheng) pensait lui
aussi dans les années 1960 que les molécules d'un organisme vivant étaient liés
par des champs informationnels et que l'ADN renfermait cette information sous
forme de signaux électromagnétiques. Il décrit ses expériences dans un article traduit en français AURA Z n°3, 1993:
Le champ électromagnétique
et l'ADN constituent une MATIÈRE GÉNÉTIQUE COMBINÉE existant sous deux formes:
passive (ADN) et active (champ bio-électromagnétique). Cela dit, la forme
passive sert à conserver l'information génétique, alors que la forme active est
en mesure de la modifier... Le champ bio-électromagnétique (support de
l'énergie et de l'information) se manifeste dans la bande UHF et dans celle des
rayons infrarouges.
Dans les laboratoires de l'université
chinoise, Kangeng invente un appareil qui projette des ondes électromagnétiques
à ultra-hautes fréquences (UHF) sur un organisme. Il poursuit ses travaux à
Khabarovsk en Russie où il trouve refuge suite aux événements politiques en
Chine. Les ondes UHF sont polarisées avec une antenne en forme de parabole, de
sphère, de cône, ou d'hexaèdre. Elles captent l'information puis la
transmettent à un autre organisme.
Dans une série d'expériences, Kangeng transfère
les informations génétiques de germes de blé sur des plantules de maïs. Les grains qui se forment tiennent à la fois de ceux de blé et
de ceux de maïs par leur morphologie. Par le même procédé, certaines
caractéristiques d'un melon,
en particulier son gout, sont transférées à des germes de concombre. Ces
modifications sont transmises aux générations suivantes.
D'autres expérimentations ont lieu avec des
animaux. Des œufs de poule reçoivent l'information génétique
issue d'un canard. La
plupart des poussins naissent avec des modifications morphologiques: pattes palmées,
tête plate comme celle d'un canard, long cou, etc. Les modifications
enregistrées sont également transmises aux générations suivantes.
Ces résultats montrent la puissance de cet
outil et ouvrent des perspectives ahurissantes. Comme tous
les outils, il peut être utilisé en vue du bien de chacun, ou pour le profit
égoïste et la soif de pouvoir de quelques personnages au détriment des autres.
Développer ces procédés nécessite donc une réflexion
fondamentale sur le sens de la vie et sur la logique du pouvoir. Il n'en reste pas moins que ces
expériences nous introduisent dans les mécanismes
intimes de création de la vie (voir Origine de la Terre et création de la vie).
Modifications génétiques des plantes et des animaux par
transfert électromagnétique
Par la suite ou indépendamment, d'autres
chercheurs ont effectué le même genre d'expérimentation avec des appareillages
différents. Leurs préoccupations sont principalement de trouver des moyens de
guérison.
C'est en utilisant un laser à rayon rouge
qu'un chercheur russe, V.
Budakovski, a effectué 160 études sur des organismes divers, depuis la
bactérie jusqu'aux humains en passant par les batraciens. Son taux de réussite
de guérison est de 64%. Il guérit des framboisiers atteints de callosités (cellules cancéreuses) en projetant un
hologramme portant l'information de la plante saine. La guérison se produit en
quelques mois. Il projette aussi des informations d'œufs de grenouilles sur des œufs de salamandres, de sorte
qu'ils donnent naissance à des grenouilles.
Notons que ces expériences ont eu lieu seulement avec de la lumière, sans aucune chirurgie ni recombinaison chimique d'ADN.
P. Gariaev et son équipe ont eux aussi réalisé des expérimentations analogues
en utilisant un laser qui projette deux
ondes lumineuses polarisées perpendiculairement, donc sans
interférences entre elles (bio-ordinateur). Ces ondes traversent le tissu
semi-transparent de l'organisme donneur, par des allers et retours répétés, et
elles sont modulées par l'hologramme génétique. La modulation est transformée
en signal radio (0,5
MHz à 1,5 MHz) selon une spectroscopie nouvelle appelée Spectroscopie
par ondes Laser et Radio Polarisées (PLRS), elle est enregistrée sur
ordinateur, puis transmise à un tissu receveur.
Ce protocole appliqué à des pommes de terre leur a conféré une croissance
ultra-rapide et a fait apparaitre des modifications morphologiques sur leurs
tiges.
Remarque sur la pensée: Certaines personnes ont la possibilité d'obtenir directement ce
même genre de phénomène en concentrant leur pensée et leur sentiment, en
parlant aux plantes, sans aucun appareillage. La connaissance par modification de conscience est plus directe que la connaissance scientifique et semble
donner accès à d'autres processus. Elle est plus simple, mais se révèle à ceux
et celles qui se dégagent des jeux de l'égo (voir Spiritualité et développement). La connaissance scientifique progresse à son rythme, avec de grands moyens techniques. Elle
permet de mettre au point de nouveaux appareillages. Sa compréhension est
réservée à ceux et celles qui ont suffisamment étudié.
Par ce même procédé, les chercheurs ont eu la
possibilité de redonner vie à des graines
d'Arabette des dames (Arabidopsis
thaliana), tuées par radioactivité dans la région de Chernobyl en 1987. Ils les
ont illuminées par l'hologramme de graines saines. Alternativement, ils n'ont
obtenu aucun effet sur les graines si l'onde radio ne transportait pas cette information.
|
|
Fleur d'arabette
des dames ou arabidopsis
thaliana |
Taux de
survie des rats à l'injection d'alloxane après un traitement aux ondes polarisées Groupe 1:
Pas de traitement holographique, injection un jour après la dernière
irradiation laser. Groupe 2: traitement à 20 m de la source, injection un
mois après la dernière irradiation laser. Groupe 3: traitement à 70 cm de la
source, injection un jour après la dernière irradiation laser. Groupe 4:
irradiation au laser sans l'information génétique à 70 cm de la source,
injection un jour après la dernière irradiation laser Extrait de Exploring
wavegenetics and wave immunity. Theoretical
models, Gariaev P.P. et coll. |
L'équipe de Gariaev a mené des expériences
capitales de guérison sur des rats dont ils ont détruit le pancréas avec une drogue (alloxane). Par le
laser, ils ont illuminé les rats avec l'information holographique d'un pancréas
parfaitement sain, prélevé sur un autre rat nouveau-né. Lorsque l'exposition au
laser était suffisante, leur pancréas s'est reconstitué complètement et les rats se sont
régénérés. Dans un lot témoin qui n'a pas reçu ce
traitement, les rats sont tous morts. Les cellules se reconstituent à partir de
cellules souches qui évoluent en cellules pancréatiques.
Dans une autre série d'expériences,
ils ont d'abord illuminé les rats par holographie pour leur conférer un plus
grand pouvoir de résistance, à titre de prévention. Puis ils les ont soumis à
des injections d'alloxane et ont mesuré leur résistance (voir tableau
ci-dessus). Les résultats montre qu'elle a augmenté de manière décisive.
Guérisons possibles de maladies chez les êtres humains, y
compris le SIDA
Après son expérience sur les poussins, le
chinois Dzang Kangeng a montré que son procédé donnait la
possibilité de transférer des informations de guérison et de rajeunissement à
un humain. Une expérience a été menée en 1987 sur son
père agé de 80 ans. Les résultats ont été positifs: A la suite du traitement, les maladies chroniques qui le
tenaillaient depuis 20 à 30 ans ont disparu, de même que l'allergie cutanée, le
bourdonnement d'oreille (acouphène) et la tumeur bénigne; six mois plus tard,
des cheveux ont repoussé à l'endroit de la calvitie et les cheveux gris sont
redevenus noirs. Un an après l'expérience, une dent a repoussé sur
l'emplacement de celle arrachée 20 ans plus tôt. Il en a tiré un brevet.
Le procédé de P. Gariaev offre des
possibilités analogues: Il est possible d'offrir les perspectives
suivantes concernant la manipulation de signaux avec des structures génétiques:
La mise en œuvre d'une surveillance à distance de processus d'information clé
dans les bio-systèmes au moyen de tels bio-ordinateurs, ayant pour application
des traitements contre le cancer, le SIDA, les malformations génétiques, le
contrôle sur des processus socio-génétiques et, finalement, l'allongement de la
vie humaine... La protection active contre les effets d'ondes destructrices,
grâce aux détecteurs de canaux d'information d'onde. (Extrait de L'onde bio-numérique)
En ce qui concerne le SIDA et son virus
associé, le VIH, Peter
Gariaev, George Tertishny et Katherine Leonova (2002) affirment qu'on devrait pouvoir supprimer la fabrication des protéines
virales par le VIH (virus du SIDA) en envoyant les codes des cellules saines. On peut donc envoyer des "vaccins" électromagnétiques
contre les virus VIH, ainsi que d'autres virus.
C'est l'origine de
l'idée qu'une stratégie avec une approche essentiellement nouvelle du
traitement du VIH et du cancer suppose la compréhension et la possibilité de
gérer la logique d'un génome multi-vectoriel... Si nous connaissons les
principes de fonctionnement du ribosome dans un mode contextuel, alors nous
pouvons lutter avec succès contre le VIH dans la zone de régulation des ondes
ribosomales (laser, solitonique, polarisation et ondes radio). Les ribosomes,
qui synthétisent les protéines du VIH, doivent avoir des vecteurs d'onde fins
pour leur gestion à travers les voies du contexte d'arrière-plan. Si on les
connait, il est possible de supprimer la synthèse des protéines virales par des
champs extérieurs artificiels modifiés analogues à ceux des cellules
normales... De façon similaire à ce qu'a trouvé la Nature, il deviendra
possible de concevoir un vaccin ondulatoire simple contre le VIH, d'autres
virus et des bactéries.
Le procédé a été appliqué en 2011 avec succès
à une petite fille de 2 ans atteinte de fibrose kystique avec dégradation du
foie et du pancréas, grâce à un hologramme provenant de sa cousine saine.
Recommandez
cet article à vos contacts |
grâce à
Google +1 |
|
ou
Facebook |
|
Annexes
·
Hologramme génétique et ondes polarisées
·
Les expériences du Pr. Luc Montagnier sur la synthèse de
l'ADN
Hologrammes
Photographier un objet (par exemple une
pomme), éclairé avec de la lumière naturelle ou artificielle, revient à
enregistrer les variations d'intensité et de couleur (fréquence) de cette
lumière. Dans le procédé holographique, mis au point par Dennis Gabor en 1948, on enregistre en plus la phase de la lumière, ce qui permet de
restituer l'image en 3 dimensions.
La phase d'une onde est sa position
dans le temps, et doit être définie par rapport à un
repère de temps. Le plus souvent, on parle de la différence de phase entre deux
ondes. Si on représente une onde par une balançoire qui oscille, son intensité
est la force avec laquelle on la pousse et sa fréquence est la vitesse avec
laquelle elle fait un aller et retour. Pour comprendre sa phase, imaginons deux
balançoires oscillant à la même fréquence avec la même intensité. Si
elles sont synchronisées, on dit qu'elles sont en phase. Si elles sont
décalées, il y a une différence de phase. La lumière ordinaire est composée de
multiples ondes dont la phase est chaotique et inutilisable comme moyen
d'enregistrement. Par contre, la phase est stable dans la lumière d'un laser.
Dans le procédé d'enregistrement
holographique, un faisceau laser a été séparé en deux ondes dont l'une est la
référence de phase. L'autre éclaire l'objet.Les deux ondes se recombinent en interférences qui sont
enregistrées sur la plaque photographique. Le graphique qui en résulte est l'hologramme de l'objet. Si, au
lieu d'une plaque, on imagine un écran, et au lieu d'une pomme un objet
mouvant, on peut voir le film de ces interférences. C'est un hologramme
dynamique.
|
|
Principe de
formation d'un hologramme |
Exemples
d'hologrammes enregistrés sur pellicule |
D'après Sybervision |
Les tracés holographiques sont composés
d'interférences et ne sont pas directement interprétables par l'œil. Mais
l'information sur l'objet y est contenue de façon complète, sous une forme
transformée. C'est comme si l'objet était décrit dans un autre espace. Si on
éclaire l'hologramme enregistré par le même faisceau laser de référence, alors
on restitue l'image de l'objet en 3 dimensions. Si l'hologramme est dynamique, on le projette comme un film.
Une propriété remarquable de
l'hologramme est que dans chacune de ses parties se trouve l'information de la
totalité de l'objet. C'est pourquoi on a donné à ces images
le nom d'hologramme qui signifie graphique
du tout. Bien entendu, si on prend seulement une petite partie de
l'hologramme, on perd toutefois quelle chose, c'est la résolution, la netteté
de l'image, qui devient plus faible.
Hologrammes biologiques
La notion d'hologramme a été introduite
dans le domaine de la neurologie par Karl
Pribram (né en
1919). En effectuant des expérimentations sur le cerveau des rats et des
salamandres, il a montré que les souvenirs (par exemple la mémoire des procédés
pour aller chercher la nourriture) persistent même quand le cerveau est détruit
(Languages of the Brain, 1971).
Il pressent que l'enregistrement a lieu sous forme d'ondes, dans un champ
électromagnétique qui enveloppe le cerveau. Travaillant avec Dennis Gabor, il
montre que l'enregistrement a les caractéristiques d'un hologramme. Lire un
souvenir, c'est percevoir un hologramme.
D'autres chercheurs travaillent selon ce
concept (P. Marcer, W. Schempp, Edgar Mitchell),
inspirés par les hypothèses du physicien David
Bohm(L'ordre implicite). Selon eux, le cerveau
est une antenne qui reçoit les fréquences et les traduit
en images. Percevoir, c'est former un hologramme. Le souvenir de la perception est son enregistrement.
Hologramme génétique et ondes polarisées
Comment le code génétique inscrit dans
les hologrammes est-il lu et transmis? Par de nombreuses expériences et calculs
théoriques en collaboration avec des spécialistes, l'équipe de Peter Gariaev,
de l'Académie russe des Sciences naturelles et de l'Académie des Sciences
médicales, a mis au point le modèle suivant.
Information et ondes polarisées
Le code génétique holographique est
contenu dans l'ADN (le chromosome). Les ondes qui proviennent des autres
cellules ou de lui-même le lisent. Cela signifie qu'elles arrivent dans un
certain état et repartent dans un autre. En effet, il est possible d'inscrire
une information dans la matière ou dans une onde en modifiant de façon
contrôlée et codée l'état de cette matière ou de cette onde (voir Codage et information).
Dans le cas du code génétique, Gariaev
et coll. ont montré que l'information était inscrite dans l'onde sous forme de
polarisation. Qu'est-ce que la polarisation de l'onde?
Il faut savoir que toute onde électromagnétique vibre dans une direction
perpendiculaire à sa direction de propagation, et que cette direction peut
tourner autour de l'axe de propagation. Lorsque cette direction ne tourne pas,
donc reste fixe, on dit que l'onde est polarisée. On peut
encoder une information en modulant de façon codée la direction de polarisation.
|
L'ADN se
comporte comme une chaine de barres oscillantes parcourue de solitons (onde à
une seule vague) |
Lorsque la chaine d'ADN est stimulée par
une onde électromagnétique polarisée cohérente (naturelle ou projetée par un
laser), elle s'ouvre localement, les 2 brins se séparent sur une distance de
quelques nucléotides puis se réassocient. Cette fenêtre d'ouverture se déplace
progressivement le long de la chaine, comme une main qui caresse la chaine pour
en ressentir l'information. L'ADN est parcouru d'une onde mécanique. Une telle onde avec une seule vague, comme lorsqu'on donne une
seule impulsion à une corde allongée librement sur le sol, s'appelle un soliton.
Dans la fenêtre où ils sont séparés, les
2 brins oscillent librement sous l'effet du soliton. Leur oscillation dépend de
leur masse, c'est-à-dire de la nature en A+T ou C+G et de l'influence des
barres voisines (voir ADN moléculaire). Pour
transmettre ses informations, l'ADN produit des ondes polarisées dans des fréquences
multiples, aussi bien dans le domaine lumineux que dans les ondes radio. Ce fait a été utilisé avec succès par Gariaev et ses
collaborateurs dans la conception du laser bio-ordinateur qui leur sert pour
transférer des informations génétiques d'un donneur à un receveur.
Les structures moléculaires qui polarisent la lumière
Les structures moléculaires qui sont
capables d'agir sur la polarisation de la lumière sont des molécules
dissymétriques. C'est le cas de l'ADN, de l'ARN et des protéines qui entrent
dans la composition des chromosomes. Dans son milieu cellulaire, l'ADN se
replie selon un empilement structuré en cristal liquide nématique (voir article Cristaux liquides; Birefringence and DNA Condensation of Liquid Crystalline
Chromosomes, Man Chow et coll., 2010; Are liquid crystalline properties of nucleosomes involved
in chromosome structure and dynamics? Françoise Livolant et coll. 2006).
La diffraction des ondes sur ces
structures cristallines liquides crée les hologrammes. Sous l'effet d'une onde
lumineuse, ces molécules captent de l'énergie et prennent une autre forme qui
polarise la lumière différemment. Ces structures pourraient être des lieux de
stockage des hologrammes et en même temps émettre des photons lumineux.
Source: Wave Genetic
Bio-Management nanotechnologies, Theory and empirical evaluation, Tertishnii G.G. et Gariaev P.P., 2007,
New medicine technologies, 7, 49
Les expériences du Pr. Luc Montagnier sur la synthèse de l'ADN
Signaux électromagnétiques de bactéries et de virus enregistrés
dans l'eau
Dans une première série d'expériences,
les chercheurs ont détecté les signaux électromagnétiques émis par des
bactéries et des virus en solution dans l'eau selon une technique issue des
expériences du professeur Jacques Benvéniste.
Le protocole expérimental est le
suivant. Une population de cellules
pathologiques (Mycoplasma
Pirum) est mise en solution dans l'eau. Puis l'expérimentateur élimine
toute cellule de cette solution en la filtrant avec des filtres dont les trous sont calibrés à une taille
inférieure à celle des cellules (100 nm et 20 nm). Il vérifie que l'élimination
est effective.
L'eau est ensuite diluée au 1/10e, puis à nouveau au 1/10e plusieurs fois, et agitée chaque fois pendant 15 s selon un protocole défini. Les dilutions
successives sont versées dans des tubes en plastique, qui sont ensuite bouchés
hermétiquement. Chacun des tubes est placé à son tour dans une bobine de fil de
cuivre qui détecte la présence
éventuelle d'ondes électromagnétiques.
Dans ces conditions, la détection
d'ondes a été positive pour des dilutions moyennes (10-5 à
10-12), et négatives pour les basses et les hautes dilutions. Les
ondes détectées ont une fréquence d'environ 1000 Hz. Aucun signal n'a été
détecté pour les solutions non filtrées, donc contenant encore les cellules.
Ce qu'on déduit à ce stade, c'est qu'un signal a été enregistré dans l'eau préparée selon un protocole de dilution défini. Il y a une autre
condition indispensable à l'apparition du signal. L'eau doit être placée dans un
champ électromagnétique de fréquence d'environ 7 Hz. Elle l'est naturellement par l'environnement car la Terre est
soumise en permanence aux ondes de Schuman qui sont des fréquences de résonances
de l'ionosphère. Si ce champ est coupé par une protection en mumétal, aucun
signal ne se produit dans les dilutions. À moins qu'on ajoute un champ
artificiel de 7 Hz.
L'empreinte de la cellule dans l'eau
s'est traduite par un changement de la structure de l'eau. Des petits
assemblages de molécules d'eau se constituent, et ce sont eux qui émettent les
signaux. L'expérience a été reprise avec des bactéries.
Dans ce cas, on n'obtient pas de signal lorsque l'eau est filtrée avec un
calibre de 20 nm. Cela indique que les structures d'eau sont des assemblages minuscules
(nanostructures) avec une taille comprise entre 20 et 100 nm. Des chercheurs italiens réputés, Giuliano Preparata et Emilio Del Giudice, ont
démontré qu'elles sont détruites en chauffant au-dessus de 70°C ou en congelant
en-dessous de -80°C.
Il n'est pas besoin de mettre la cellule
entière en solution dans l'eau pour obtenir cette empreinte. Des résultats
analogues ont été obtenus avec l'ADN extrait des bactéries, et même avec
un court fragment de cet ADN. C'est donc l'ADN qui crée la structure qui est imprimée dans l'eau. Il est donc logique que l'on ait obtenu les mêmes résultats avec
des virus, dont le
rétrovirus HIV lié au SIDA. Dans ce cas, toutefois, il y a une légère variante:
un signal électromagnétique n'est pas produit à partir l'ARN constitutif du
virus, mais avec sa transcription en ADN. C'est l'ADN qui imprime son signal à
l'eau.
|
|
Montage
expérimental du Pr. J. Benvéniste pour la mesure des signaux
électromagnétiques émis par des solutions diluées. 1. Bobine en fil de
cuivre; 2. Solution, 1 ml en tube scellé plastique; 3 et 4. Amplificateur et
ordinateur |
Montage
expérimental du Pr L. Montagnier pour le transfert de signaux
électromagnétiques d'un tube à l'autre. Tube 1, contenant la solution filtrée
et diluée; tube 2, eau pure ou eau avec constituants de l'ADN; bobine de
cuivre créant un champ magnétique de 7 Hz; entourée de mumétal |
Extrait de L. Montagnier et coll., DNA Waves and Water |
L'empreinte électromagnétique de l'ADN est transférée à un tube
d'eau pure
Dans un deuxième temps, Montagnier a
montré qu'il était possible de transférer l'empreinte électromagnétique de
l'ADN dans un autre tube d'eau pure selon le protocole suivant.
Il a pris certaines des dilutions
préparées précédemment à partir d'un fragment d'ADN du virus VIH qui présentent
un signal, par exemple la solution diluée à 10-6 (voir figure, tube 1). Il l'a placée à
côté d'un autre tube contenant de l'eau pure filtrée à 450 nm et 20 nm et
diluée de la même façon que celle ayant contenu de l'ADN (figure, tube 2). Les
tubes sont soumis à un champ de 7 Hz pendant 18h à la température ambiante et
protégés des champs extérieurs par un blindage en mumétal autour de la bobine.
On mesure les signaux électromagnétiques émis par chaque tube.
Le résultat est que le tube 2 contenant
de l'eau pure émet aussi des signaux pour les dilutions correspondant à celles
qui donnent des signaux positifs dans le tube 1. Cela prouve que les signaux
portés par les nanostructures dans l'eau du tube 1 ont été transmis à l'eau
pure du tube 2 en 18h. Ce transfert n'a pas lieu si ce temps
est inférieur à 16h, si la bobine est absente ou le champ magnétique coupé, si
la fréquence d'excitation est moins de 7 Hz, ou si l'ADN est absent du premier
tube à l'origine.
L'empreinte est transférée à un tube contenant les ingrédients
de l'ADN
Les ondes transférées sont la signature
des cellules placées à l'origine dans le tube 1, mais quel est le contenu de
cette signature? Pourrait-elle fournir suffisamment d'informations pour recréer
une séquence d'ADN? Normalement, on pense que non. De l'ADN ne peut être créé
qu'à partir d'une autre molécule d'ADN qui se recopie par séparation des 2
brins. Le brin séparé de l'ADN
comporte le plan qui permet
d'assembler l'autre brin avec les constituants présents dans l'entourage.
L'expérience a été tentée en transférant
le signal à un autre tube, le tube 2 comme précédemment, mais cette fois ce
tube contient en solution les composants de l'ADN (nucléotides, amorces, polymérase).
Le résultat est oui. De l'ADN a été produit par ce transfert électromagnétique.
La détection de l'ADN par la technique
habituelle chez les biologistes, l'électrophorèse sur gel d'agarose, met en
évidence un ADN de la taille attendue (104 paires de bases). Seulement 2 paires
de bases sur 104 étaient différentes de la séquence de l'ADN d'origine.
L'expérience a été reproduite 12 fois avec les mêmes résultats. Elle a
également été reproduite avec une séquence
d'ADN de la bactérie Borrelia
burgdorferi, l’agent de la maladie de Lyme.
Sources: Ces recherches sont rapportées dans 2
publications scientifiques et dans une conférence des prix Nobel intitulée DNA waves and water prononcée à Lindau le 28 Juin 2010.
Larry Hecht la commente dans sa revue scientifique américaine 21st Science & Technology (traduction et commentaires dans le
site Solidarité et progrès).
Electromagnetic Signals Are Produced by Aqueous Nanostructures
Derived from Bacterial DNA Sequences, Montagnier L, Aissa J, Ferris S, Montagnier J-L, Lavallee C,
Interdisciplinary Sciences: Computational Life Sciences, 2009, 1, 81-90
DNA Waves and Water, Luc Montagnier, J.
Aissa, E. del Giudice, C. Lavallee, A. Tedeschi and G. Vitiello, Journal of Physics, 2011, 306, 012007
Des signaux "homéopathiques" ont été détectés à partir de l’ADN,
Mae-Wan Ho, ISIS Biologie Médecine, 2010
Une séquence d’ADN reconstituée à partir de la mémoire de l’eau, Mae-Wan
Ho, ISIS Biologie Génétique, 2011
Le champ "fantôme" de l'ADN
Le Dr. Gariaev et son équipe ont
d'abord mis en évidence le champ de l'ADN par un effet dit "fantôme".
Ils ont mené une série d'expériences consistant à étudier le comportement d'une
solution d'ADN dans de l'eau. La solution (3 mg d'ADN dans 3 ml d'eau) est mise
dans un petit récipient en quartz et stabilisée au citrate de sodium (tampon
SSC). Les molécules d'ADN y sont mobiles et agitées d'un mouvement erratique
nommé mouvement brownien.
Les spectrographies sont courantes dans
les études scientifiques afin de mesurer toutes sortes de caractéristiques des
substances. Dans le cas présent, la solution est introduite dans un appareil où
elle est traversée par un rayon laser dont la diffusion est recueillie dans les
différentes directions. L'analyse de ces photons diffusés permet d'en déduire
des renseignements sur la taille et la vitesse de déplacement des particules en
solution. Cette technique est appelée diffusion
dynamique de la lumière (DLS)
ou encore spectrographie par
corrélation de photons (PCS)
(avec un spectographe Malvern).
Pour comprendre l'effet de l'ADN sur
cette diffusion, il faut la comparer à ce qu'on obtient sans la solution.
Lorsque le récipient est vide, les expérimentateurs ont constaté sans surprise
que les photons diffusés sont distribués complètement au hasard (fig.a).
|
|
|
a- Diffusion
corrélée en l'absence de la solution d'ADN |
b- Diffusion
corrélée en présence de la solution d'ADN |
c- Diffusion
corrélée après avoir enlevé la solution d'ADN |
Expérience
et figures réalisées par P. Gariaev et son équipe. Reproduites de L'onde ADN bio-numérique |
Dans un deuxième temps, les
expérimentateurs ont introduit la solution d'ADN. Ils ont obtenu des
fluctuations périodiques bien précises, caractéristiques des molécules en
solution (fig. b). Puis, ils ont vidé le récipient et ont recommencé. Contre
toute attente, la courbe obtenue n'est plus celle du début, mais ressemble à
celle obtenue en présence d'ADN (fig. c). Tout se passe comme si l'ADN est encore présent, comme s'il avait laissé son empreinte (les expérimentateurs l'appellent son fantôme).
Cette empreinte peut persister pendant
plus d'un mois, même si on tente de l'effacer en
soufflant régulièrement de l'azote dans le récipient.
Ce phénomène bouscule notre
représentation d'un champ d'information. En effet, si en présence de l'ADN
l'onde électromagnétique du laser est dispersée par le champ électromagnétique
des atomes de l'ADN, par quoi est-elle modulée en l'absence d'ADN? Quelle est
la nature de ce fantôme? On doit admettre qu'il existe un milieu subtil, une
substance primordiale, dans laquelle le champ de l'ADN a laissé son empreinte.
Cette substance a la capacité de
conserver une mémoire, d'enregistrer des informations. L'existence de cette
substance commence à être bien documentée par les avancées récentes de la
physique quantique. C'est le champ
du vide, appelé aussi champ
de cohérence universel ou matrice universelle (voir articles à venir Physique quantique).
Lire les autres parties:
·
1. La molécule d'ADN et le code génétique.
De la cellule aux gènes, en passant par les chromosomes et l'ADN, vous êtes
invités à visiter les rouages du programme génétique qui commande notre
développement physique. Comment fonctionne-t-il? Jusqu'à quel
point nous contrôle-t-il? Quel est son langage? Vous pourrez le découvrir sans
notion de biologie ou de chimie en observant le paysage, tel un voyageur qui
s'aventure dans le monde des molécules.
·
2. L'ADN et ses modes d'expression.
Contrairement à l'idée répandue selon laquelle nous sommes programmés par notre
code génétique, des scientifiques ont montré que celui-ci est en réalité un
stock de données qui peuvent être activées ou non selon nos conditions de vie
(nutritionnelles et psychiques). La science de l'épigénétique a montré que cette activation était
due à des modifications chimiques réversibles du gène. Chacun de nous est donc
dans un état épigénétique qui lui est propre et qui se modifie avec l'âge. Dans
certaines circonstances, cet état est transmissible à la descendance, et cela bouleverse
les idées figées des scientifiques sur l'évolution des espèces par la sélection
naturelle. D'autres observations nous démontrent que l'ADN et les gènes ne sont
pas des assemblages constitués de façon fixe et définitive. L'ADN se recompose
en partie lorsque certains fragments (les transposons)
changent de place. La plasticité
des cellules nerveuses est un
autre exemple qui montre combien nos cellules ne sont pas constituées une fois
pour toutes, mais possèdent la capacité étonnante de s'adapter au changement et
d'inventer de nouvelles formes.
·
3. Architecture et structure de l'ADN.
Les parties codantes des gènes de l'ADN, qui détiennent les codes de
fabrication des protéines qui régulent notre corps, n'occupent que 1,3% environ
de la totalité de l'ADN. Les zones non-codantes dans et entre les gènes
intriguent les scientifiques par leur présence énigmatique. Ayant abandonné
l'idée que ces zones sont inutiles, ils commencent à mettre en évidence leurs
fonctions possibles. Ils ont des rôles de régulation et de contrôle. Les zones
intergènes comportent des séquences caractéristiques pour chaque individu, au
point qu'elles ont été retenues par la législation comme base de l'empreinte
génétique. Il existe donc une architecture significative dans l'ADN. Par des
méthodes d'analyse statistique, des mathématiciens ont mis en évidence un ordre fractal qui varie selon le type d'ADN.
·
4. La musique de l'ADN et des protéines.
La structure de l'ADN et des gènes sous-tend une harmonie que certains artistes
et compositeurs ont transcrite en musique. Au-delà de ces visions d'artiste, la
physique quantique montre, grâce à Joël Sternheimer, qu'à chaque acide aminé composant une protéine est associée une
onde d'échelle, qui peut être transcrite en note de musique. Par la musique des protéines ou protéodies, il est possible d'entrer en dialogue intime avec l'organisme, ce
qui ouvre des perspectives passionnantes et nouvelles en agriculture et en
médecine.
·
5. L'ADN électrique. On représente
habituellement la molécule d'ADN sous forme de volumes géométriques: hélices,
rubans et segments. Au-delà de son occupation dans l'espace, une vie électronique
intense se manifeste dans les molécules, responsable de leurs attirances,
associations et assemblages. De nombreuses recherches ont été conduites sur la
conductivité électrique de l'ADN nu, donc en-dehors du corps. Récemment, il a
été démontré que l'ADN est électro-conducteur et peut être considéré comme un
minuscule fil électrique. Ces recherches sont motivées par la possibilité
d'utiliser l'ADN comme constituant de nano-circuits électroniques (à l'échelle
du nanomètre). Des ordinateurs à base d'ADN ont été construits et testés. L'ADN
participe ainsi à la grande course des nanotechnologies qui permettent de
fabriquer des puces et autres dispositifs de taille très inférieure à celles
élaborée avec le silicium. Une technologie qui se répand pour le meilleur et
pour le pire.
·
7. Les niveaux vibratoires de l'ADN. A venir
En savoir plus
Articles dans ce site
·
Comment l'information est codée et enregistrée dans la
matière. Du code de la route aux codes sacrés de guérison.
Les communications que nous établissons avec les autres, avec les machines et
avec la nature, s'établissent au moyen de codes et de langages dont notre vie
quotidienne fournit des exemples très variés: code de la route, codes marins,
code à barres, codes numériques, langages gestuels, langages parlés ou écrits,
code génétique de l'ADN, etc. Ces codes sont émis et transportés par le support
de la lumière, des sons ou des ondes électriques et électro-magnétiques. Leur
inscription ou enregistrement dans la matière (papier, argile, pierre, métal,
cristaux, particules magnétiques, eau, molécules, etc.) implique une
modification ou empreinte de cette matière, jusqu'aux niveaux atomique,
électronique et quantique. Notre corps enferme également des mémoires, acquises
ou archétypales, bénéfiques ou bloquantes. L'utilisation de codes sacrés (sons,
paroles, cristaux, géométrie) est particulièrement recommandée pour nous
reconnecter avec nos mémoires cellulaires et favoriser notre développement
spirituel.
·
Physique quantique: les concepts fondamentaux.
Onde et particule, le double visage de la matière. Abandon de la notion de
trajectoire - États entremêlés - Univers parallèles. Une interrogation sur la
réalité objective. La physique
quantique est née dans les années 1920 après qu'Einstein ait introduit la
notion de quantum dans les rayons lumineux pour expliquer l'effet
photoélectrique, et que De Broglie ait généralisé le double visage
onde/particule aux particules de matière. Sa géniale hypothèse a été confirmée
expérimentalement par les phénomènes d'interférences des électrons. Les lois
mathématiques qui permettent de décrire la particule ont été développées par
Schrödinger et Heisenberg. Leurs conséquences sont étonnantes. Il est
intrinsèquement impossible de localiser la particule sur une trajectoire, on ne
peut calculer que des probabilités de sa présence. L'état d'une particule
inclut l'ensemble de toutes ses possibilités superposées. De même, des
particules jumelles restent indissociables dans un état intriqué, même à de
grandes distances. Mais tout processus de mesure modifie ces états.
La fin du déterminisme, la participation de l'observateur, le lien immuable
entre particules corrélées, sont des thèmes qui rejoignent les enseignements
spirituels traditionnels sur l'unité du monde, et cela a le mérite d'amorcer
une réconciliation entre la science et la spiritualité. Toutefois,
l'interprétation de ces résultats donne lieu à des controverses. La majorité
des physiciens suivent l'opinion de Bohr selon laquelle seule existe la réalité
empirique des phénomènes, bien qu'elle nous semble déroutante. Envisager
l'existence d'une réalité sous-jacente ne serait que spéculation stérile.
D'autres ont cherché à trouver un sens aux phénomènes et ont proposé qu'il
existe une réalité voilée, ou bien que les informations pourraient voyager dans
le temps, ou encore qu'il existe des mondes parallèles qui correspondraient aux
différentes possibilités de mesure. Mon avis est que cela revient à proposer
l'existence d'une réalité supérieure indifférenciée. Mais alors que les
physiciens ne l'envisagent que sur un plan matériel, les enseignements
spirituels nous décrivent une réalité supérieure qui comprend des plans subtils
étagés qui est en rapport avec notre propre évolution de vie et que certains
ont pu explorer en état de conscience élargie.
Articles sur Internet
·
Les biophotons sur Wikipédia: Alexander Gurwitsch; biophotons;
bibliographie en anglais de F.A.
Popp
·
Fritz-Albert Popp et les biophotons,
émission Archimède du 26 juin 2001 sur ARTE TV. La qualité des aliments
·
Dans l'article L'effet Kirlian et le rayonnement lumineux de l'ADN,
par L'équipe Contre-La-Pensée-Unique: Les émissions de lumière ténue peuvent-elles nous
renseigner sur l'état des cellules, traduction d'un article en
anglais de Bennett Daviss dans New Scientist magazine, 23/02/2002,
vol. 173, n°2331, 30; La lumière et la vie, un passage du livre de
F. David Peat, la pierre philosophale: chaos et ordre caché de l?univers
·
La biophotonique, science de
l'information lumineuse. Vincent Crousier. Publié dans Nexus N°47, nov-dec. 2006. Quel est le
rapport entre les cellules d'un organisme vivant, une entreprise d'armement et
des produits cosmétiques ? Réponse : la biophotonique. A l'origine de ce
nouveau champ scientifique, la découverte, il y a plus de quatre-vingt ans, de
la production de photons par l'ADN. Après avoir rencontré les résistances
symptomatiques d'un changement de paradigme, la biophotonique est aujourd'hui
étudiée et reconnue par (presque) tous les centres de recherche les plus prestigieux.
·
Reproduire l?«impossible» rayonnement mitoge?ne?tique,
Jonathan Tennenbaum, Magazine Fusion N°86 - mai/juin 2001. Les travaux de
Burlakov
·
L'ADN communique dans l'univers - l'ADN fantôme.
Grazyna Fosar et Franz Bludorf, article en allemand paru dans Raum und Zeit,
13/8/2005, Berlin, traduction française Isabella Heim. Les travaux de Gariaev
en anglais
·
Quantica, Institut de recherche Fritz-Albert Popp.
Recherche, développement et transferts de connaissances de la biophotonique.
Applications, en particulier pour la médecine alternative. En anglais et en
allemand. Voir applications de la biophotonique
·
About the Coherence of Biophotons. Fritz-Albert Popp. "Macroscopic
Quantum Coherence", Proceedings of an International Conference on the
Boston University, edited by Boston University and MIT, World Scientific 1999. Biophoton emission is a
general phenomenon of living systems. It concerns low luminescence from a few
up to some hundred photons-per-second per square-centimeter surface area. At
least within the spectral region from 200 to 800nm. The experimental results
indicate that biophotons originate from a coherent (or/and squeezed) photon
field within the living organism, its function being intra- and inter-cellular
regulation and communication.
·
Natural light from organisms, what, if anything, can it tell us? by Beverly Rubik. Noetic Sciences
Review, été 1993, N°26, p.10
·
Brief introduction
into WaveGenetics, Its scope and opportunities, Peter Gariaev
·
Quantum
Bioholography, From Helix to
hologram, Iona Miller et Richard Alan Miller, 2003
·
Biophysical Mechanisms of Genetic
Regulation: Is There a Link to Mind-Body Healing? Lian Sidorov et Kevin Chen. Travaux de
Popp, Gariaev et d'autres
·
A Quantum
Biomechanical Basis for Near-Death Life Reviews, Thomas E. Beck, Janet E. Colli, Journal
of near-death studies, 2003, p.169. Une partie sur la
biomécanique quantique et sur la communication non-locale (téléportation)
Ouvrages sur papier
·
Le champ de la cohérence universelle,
Lynne McTaggart, Ariane, 2002. La science vient tout juste de commencer à
prouver ce que les anciens mythes et les religions ont toujours prétendu,
c'est-à-dire qu'il existe bel et bien une force vitale reliant toutes choses.
Infatigable journaliste d'investigation, Lynne McTaggart nous révèle un nouveau
et radical paradigme biologique selon lequel, fondamentalement, l'esprit et le
corps humains ne sont pas dissociés et distincts de leur milieu, mais forment
plutôt une force pulsante qui interagit constamment avec cette vaste mer
d'énergie.
·
Investigations sur le champ de conscience unitaire,
David Wilcock, Ariane Editions 2012. Cet ouvrage révèle un grand nombre de
secrets: la transformation de l'ADN, la science de la conscience, les tunnels
spatio-temporels, la géométrie sacrée, le temps multidimensionnel et un
étonnant nouveau modèle des champs d'énergie galactiques responsables de notre
évolution biologique, mentale et spirituelle.
·
The rainbow and the
Worm, The Physics of Organisms. Mae-Wan Ho, directrice de Institute of
Science in Society (ISIS). World Scientific Publishing Company, 3e ed. 2008.
What is It to be Alive?; Do Organisms Contravene the Second Law?; Can the
Second Law Cope with Organized Complexity?; Energy Flow and Living Cycles; How
to Catch a Falling Electron; Towards a Thermodynamics of Organized Complexity;
Sustainable Systems as Organisms; The Seventy-Three Octaves of Nature?s Music;
The Coherent Excitation of the Body Electric; The Solid State Cell; ?Life is a
Little Electric Current?; How Coherent is the Organism? The Heartbeat of
Health; How Coherent is the Organism? Sensitivity to Weak Electromagnetic
Fields; Life is All the Colours of the Rainbow in a Worm; The Liquid
Crystalline Organism; Crystal Consciousness; Liquid Crystalline Water; Quantum
Entanglement and Coherence; The Ignorance of the External Observer; Time and
Freewill
Vidéo en allemand sur Dailymotion
Popp - Die geheimisvolle Ordnung
hinter den Dingen
Sélection
de références dans des journaux scientifiques
·
Die Natur des spezifischen Erregens der Zellteilung. Gurwitsch A. G.
Archiv für Entwicklungs Mechanik der Organismen, 1923, 100, 11?40
·
Further measurements
on the bioluminescence of the seedlings. L. Colli, U. Facchini, G. Guidotti, R.
Dugnani-Lonati, M. Orsenigo and O. Sommariva. Cellular and Molecular Life
Sciences, 1955, 11,
479-481
·
Intermediate and Far Infrared Sensing of Nocturnal Insects. Part I.
Evidences for a Far Infrared (FIR) Electromagnetic Theory of Communication and
Sensing in Moths and Its Relationship to the Limiting Biosphere of the Corn
Earworm. Callahan Philip S. Annals of the Entomological Society of America, 1965, 58, 5 (19), 727-745
·
Electromagnetic communication in insects,
elements of the terrestrial infrared environment, including generation,
transmission, and detection by moths. Callahan P.S. ARS, 1966, 33-110, 156-176.
·
Excited Electronic
States of DNA. J. Eisinger, R.G.
Shulman. Science, 1968, 27
, 161, 3848, 1311-1319
·
Weak luminescence from the yeast
Saccharomyces cerevisiae and the existence of mitogenetic radiation. T.I. Quickenden and S.S. Que
Hee. Biochemical and Biophysical Research Communications, 1974, 60 (2) 764-9
·
Distant intercellular interactions in a
system of two tissue cultures. V. P. Kaznacheev, S.
P. Shurin et al. Psychoenergetic Syst. 1, 1976,
141-142
·
Non-chemical distant interactions between
cells in culture. A. F. Kirkin. Biofizika 1981,
26, 839-843
·
Evidence of photon emission from DNA
living systemes. Rattenmeyer M., Popp F.A., Nagl W. Naturwissenschaften, 1981, 68, 11
·
A historical review of
the problem of mitogenetic radiation. Sous la direction de
A. A. Gurwitsch. Cellular and Molecular Life Sciences, 1988, 44, 7, 545-550. The miracle of caryokinesis was the
starting point that stimulated Alexander G. Gurwitsch to carry out his famous
mitogenetic experiments in 1923. The results obtained confirmed his hypothesis
of a weak radiation from cells, which is able to trigger the growth of other
cells. Extensive experimental work within the first two decades after this
discovery indicated that the problem of mitogenetic radiations is generally
related to the biological significance of UV-radiation. Both energetic and
informational aspects have to be considered, namely radiation effective in
activating molecules, and that involved in arranging them into larger units.
·
Regulatory aspects of
low intensity photon emission. R. Van Wijk and D. H. J. Schamhart.
Cellular and Molecular Life Sciences, Experientia, 1988, 44, 7, 586-593. Photon
emission from unicellular and multicellular organisms has been a subject of
study for many decennia. In contrast to the well-known phenomenon of
bioluminescence originating in luciferin-luciferase reactions, low intensity
emission in the visible region of the electromagnetic spectrum has been found
in almost every species studied so far. At present, the nomenclature of this
phenomenon has not crystallized and it is referred to by a variety of names,
such as mitogenetic radiation, dark luminescence, low-level chemiluminescence,
and biophotons. Particular attention has been focussed on the relationship
between photon emission and the regulation of various aspects of cellular
metabolism, although in many cases quantitative data are still lacking. Throughout
the history of this field of research the question of a functional biological
role of the low intensity emission has been repeatedly raised; this is
reflected, for instance, in the heterogeneity of the terms used to describe it.
The discussion concerns the possible participation of photons of low intensity
in intra- and intercellular communication. This paper reviews literature on the
metabolic regulation of low intensity emission, as well as the regulation of
photon emission initiated by external light. Furthermore, recent data are
discussed with respect to a possible biocommunicative function of low intensity
photon emission.
·
Biophoton emission, stress and disease. VanWijk, R., Tilbury, R. N., Slawinski,
J., Kochel, B., Gu, Q., & Lilius, E. M. Experientia, 1992, 48, 1029?1102
·
Non substantial biocommunication in terms
of Dicke's theory. Popp FA, Chang JJ, Gu Q, Ho MW. In Ho,
Mae-Wan, Popp FA, Warnke U, eds, Bioelectrodynamics and biocommunication, World
scientif Publishing, Singapore, 1994,
293
·
In vivo imaging of spontaneous ultraweak photon
emission from a rat's brain. Masaki Kobayashi and
others, Neuroscience Research, 1999,
34, 103
·
Photon statistics and correlation analysis
of ultraweak light originating from living organisms. Masaki Kobayashi and
Humio Inaba. Applied Optics, 2000,
39, 183
·
Bio-photons and Bio-communication. R. van Wijk. Journal of Scientific
Exploration, 2001, 15, 2,
183?197. The topic of bio-informational aspects of photon emission has a
history of more than eighty years. This article reviews the research activities
during the three main phases of this line of this research.
·
Distant wave-mediated
interactions in early embryonic development of the loach Misgurnus fossilis L., A. B. Burlakov, O. V. Burlakova et V. A.
Golichenkov. Russian journal of developmental biology 2000, 31, 5. Groups of
loach (Misgurnus fossilis L.) embryos of different ages were kept in different
quartz cuvettes for 20?24 h so that only optic contact between the groups was,
possible. Subsequent observations showed that parameters of their development
deviated from those in the control groups. Wave-mediated biocorrection proved
to have both positive and negative effects, depending on the developmental stages
of the interacting groups. Changes in spectral characteristics and polarization
of biological radiation affected the results of the experiments. Various
developmental abnormalities, caused by distant wave-mediated interactions of
embryos and specific to each combination of developmental stages and conditions
of optic communication are described.
·
Wave Genetics, Wave Biology Beyond Molecular Genetics,
un recueil des travaux de Gariaev par Iona Miller
·
Le concept d'hologrammes dans les organismes vivants ont également été développés par I.V. Prangishvili. Voir la liste de ses publications.
·
A model for biophotons. Matti Pitkänen. Journal of Non-Locality and Remote Mental Interactions, 2002 , I, 2
·
Modulation of DNA Conformation by
Heart-Focused Intention. R. McCraty, M.
Atkinson, D. Tomasino, Institut Harthmath, Boulder Creek, Californie,
États-Unis, 2003
·
Cellular Communication through Light. Daniel Fels. PLoS ONE 2009, 4 4, e5086. This study
finds that cells can have an influence on other cells even when separated with
a glass barrier, thereby disabling molecule diffusion through the
cell-containing medium. As there is still very little known about the potential
of photons for intercellular communication this study is designed to test for
non-molecule-based triggering of two fundamental properties of life: cell
division and energy uptake.
·
Biophotons, une sélection actuelle sur Google Scholar
Livres scientifiques
·
Recent advances in
biophoton research and its applications. Sous la direction de
F-A Popp, K.H. Li et Q. Gu, mai 1992.
The collection of
articles in this book covers the historical background, the physics of
biophoton emission, those biological phenomena which show evidence of a ?holistic?
character, and finally discusses applications and biological evolution. This
volume serves to bring researchers up-to-date on the subject and draws
attention to the many exciting findings that are widely scattered in the
scientific literature.
·
Biophotonics: Optical science and engineering for the 21st century. Sous la direction de
Xun Shen et Roeland VanWijk. 2005.
With CD-ROM. It is now well
established that all living systems emit a weak but permanent photon flux in
the visible and ultraviolet range. This biophoton emission is correlated with
many, if not all, biological and physiological functions. There are indications
of a hitherto-overlooked information channel within the living system.
Biophotons may trigger chemical reactivity in cells, growth control,
differentiation and intercellular communication, i.e. biological rhythms. The
basic experimental and theoretical framework as well as the technical problems
and the wide field of applications in the biotechnical, biomedical engineering,
engineering, medicine, pharmacology, environmental science and basic science
fields are presented in this book. To promote the dialog and mutual penetration
between biophoton research and photon technology is one of the important goals
for the International Conference on Biophotons & Biophotonics 2003, and is
developed and presented in Biophotonics: Optical Science and Engineering in the
21st Century.
Un journal consacré au sujet
·
Journal
of Biophotonics. Editor: Jürgen Popp, WILEY-VCH Verlag GmbH & Co. KGaA, Weinheim
http://www.spirit-science.fr/doc_humain/ADN6photons.html
JST Home > Strategic Basic Research
Programs > ERATO > Research Area/Projects > Completed > INABA Biophoton
INABA
Biophoton

This project focused on the
ultra-weak (《10-17 W: tens of photons per second) light that is
emitted from, transmitted in, and absorbed by biological tissue and cells.
These "biophotons" are quite different from known relatively intense
bioluminescence emissions which are detectable by the human eye and for which
specific substances are known to be responsible. The difference is in the fact
that these biophotons originate completely from chemical activity within cells,
and not as a response to external light, or other, stimulation.
Research Director: Dr. Humio Inaba
(Professor Research Institute of Electrical Communication, Tohoku University)
Research Term 1986-1991
Research
Results
Single-photon counting device: A highly sensitive and
reproducible biophoton emission measurement technique based primarily on
single-photon counting has been developed. A second-generation version of this
technique has made possible the first measurements of the quantum statistical
properties of biophoton fields.
PIN/Charge Integrating Amplification (P/CIA): A PIN/Charge Integrating
Amplification (P/CIA) detection technology has been developed that can be used
in the detection of very weak light emission in the near-infrared region,
within which certain species of oxygen emit.
Single-photon images of plant tissue: Single-photon-counting images of
germinating soybeans and other plant tissues have been obtained using only the
ultraweak light emitted by the specimen.
Transmission spectrophotometer: A transmission spectrophotometer
based on the use of a micro-channel plate has been developed that has the
highest resolution in the world for single-photon counting spectroscopy.
Fluorescence in spinach chloroplasts: Well resolved emission spectra of
white light-illuminated spinach chloroplasts at room temperature show that
delayed fluorescence occurs at 685 nm one second or more after excitation.
Light from sea urchin eggs: Light in the visible region was
detected during the fertilization of sea urchin eggs.
Ultraweak light from mammalian nucleus: The first observation of
ultraweak light emission from the mammalian nucleus was obtained.
Phase transitions in biological membranes: Studies also provided the first
observations of phase transitions in biological membranes without the use of
artificial chemical probes or labels.
·Various kinds of light emitting
phenomena
·An image of the ultraweak photon
emission penomenon accompanying soybean germination obtained for the first time
by the Inaba Biophoton team. The photo shows light emission concentrated around
the hypocatyl when the germ is growing and cells are actively dividing